Il reste la poussière de Sandrine Collette.
Crache trois fois de Davide Reviati. Ed. Ici même. Son adolescence surement., des amis, la famille citation « tu ne la choisis pas ; mais les amis te tombent dessus », des relations avec le voisinage surtout les roms. Amitiés et violence cohabitent dans cette belle bande dessinée même si le graphisme est noir. Noir c’est noir, il n’y a plus d’espoir. Qui aurait pu penser qu’un jour je citerai une chanson de Johnny. La vieillesse est un naufrage ? Dans une banlieue à la limite d’un village, on suit une bande d’adolescent fréquentant le même lycée technique. Dans cette tranche de vie Davide traite avec connaissance le peuple Roms. Il nous gratifie de ses premiers dessins, l’histoire de Pausza, une poétesse Roms. Magnifique d’humanité. PS En lisant ce petit bijou on comprend pourquoi les tziganes morts dans les camps de concentrations n’ont pas eu leur place dans l’histoire. Page 246 à 252.